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No hay nada hecho por la mano del hombre que tarde o temprano el tiempo no destruya.

La ignorancia es la madre de todos los crímenes

Cada vez que te sientas inclinado a criticar a alguien -me dijo- ten presente que no todo el mundo ha tenido tus ventajas.

La abundancia de palabras inútiles es un síntoma cierto de inferioridad mental.

No te rindas que la vida es eso,

continuar el viaje,

perseguir tus sueños,

destrabar el tiempo,

correr los escombros y destapar el cielo.


Las grandes obras son hechas no con la fuerza, sino con la perseverancia

El infierno está todo en esta palabra: soledad.


No trato de describir el futuro. Trato de prevenirlo

La fuerza y la mente son opuestos. La moralidad termina donde empieza la pistola.

Cuando no tengas nada que decir, no digas nada; una defensa débil fortalece a tu oponente, y el silencio es menos perjudicial que una mala respuesta

A veces sentimos que lo que hacemos es tan solo una gota en el mar, pero el mar sería menos si le faltara una gota.

La eternidad es un sueño mágico que se nos quedó grabado en el subconsciente.


No hay hombre tan cobarde a quien el amor no haga valiente y transforme en héroe.

Cada persona brilla con luz propia entre todas las demás. No hay dos fuegos iguales.

Prefiero tener rosas en mi mesa que diamantes en mi cuello.

Si alguna vez dudas de ti mismo hazlo como lo haría Dios: con amor y altruismo. Eso es lo que intento transmitir al mundo.


La amistad del hombre es con frecuencia un apoyo; la de la mujer es siempre un consuelo.


 

POEMAS DEL ALMA

Creo en ti amigo

Creo en tí amigo:

Si tu sonrisa es como un rayo de luz

que alegra mi existencia.

Creo en ti amigo:

Si tus ojos brillan de alegría al encontrarnos.

Creo en ti amigo:

Si compartes mis lágrimas y

sabes llorar con los que lloran.

Creo en ti amigo:

Si tu mano está abierta para dar y

tu voluntad es generosa para ayudar.

Creo en ti amigo:

Si tus palabras son sinceras y

expresan lo que siente tu corazón.

Creo en ti amigo:

Si sabes comprender bondadosamente mis debilidades y

me defiendes cuando me calumnian.

Creo en ti amigo:

Si tienes valor para corregirme amablemente.

Creo en ti amigo:

Si sabes orar por mí,

y brindarme buen ejemplo.

Creo en ti amigo:

Si tu amistad me lleva a amar más a Dios

y a tratar mejor a los demás.

Creo en tí amigo:

Si no te avergüenzas de ser mi amigo

en las horas tristes y amargas.

Algunas amistades son eternas

Algunas veces encuentras en la vida

una amistad especial:
ese alguien que al entrar en tu vida
la cambia por completo.
Ese alguien que te hace reir sin cesar;
ese alguien que te hace creer que en el mundo
existen realmente cosas buenas.
Ese alguien que te convence
de que hay una puerta lista
para que tú la abras.
Esa es una amistad eterna...

Cuando estás triste
y el mundo parece oscuro y vacío,
esa amistad eterna levanta tu ánimo
y hace que ese mundo oscuro y vacío
de repente parezca brillante y pleno.
Tu amistad eterna te ayuda
en los momentos difíciles, tristes,
y de gran confusión.
Si te alejas,
tu amistad eterna te sigue.
Si pierdes el camino,
tu amistad eterna te guía y te alegra.
Tu amistad eterna te lleva de la mano
y te dice que todo va a salir bien.

Si tú encuentras tal amistad
te sientes feliz y lleno de gozo
porque no tienes nada de qué preocuparte.
Tienes una amistad para toda la vida,
ya que una amistad eterna no tiene fin.

El pasado es un cubo lleno de cenizas. No vivas en el ayer ni en el mañana, sino aquí y ahora

 

Siempre he creído, y sigo creyendo, que la imaginación y la fantasía son muy importantes puesto que forman parte indisoluble de la realidad de nuestra vida.

 

 

René Descartes

 

Objet phobique et objet fétiche

 

Il est assez commun d'utiliser le concept de "disposition perverse polymorphe" pour désigner l'univers pulsionnel en tant que sol originaire du psychisme humain. Il est moins commun de situer la phobie, dès avant l'organisation hystérique ou obsessionnelle, au niveau de ce même dispositif pulsionnel et ainsi de la caractériser comme "disposition polymorphe". Et si, paradoxalement, le noyau phobique originel constituait la meilleure défense contre les assauts de la perversion en tant que structure logiquement constituée ? Dans ce registre polymorphe de la pulsion, le concept de "séparation" semble plus pertinent que celui de castration. En effet, il ne s'agit pas de savoir si le sujet se montre capable de surmonter un certain nombre de contradictions, d'assumer une division constituante, mais seulement s'il peut mettre à distance, se prémunir d'un univers imprévisible où tout est possible, tout peut arriver, y compris et surtout l'absurde intégral. Une peluche familière adorable - comme dans le film "Gremlins" ! - va se changer en monstre sans crier gare, tyranniser avec la dernière cruauté l'enfant qu'il semblait jusqu'alors protéger. Nous sommes ici dans l'imaginaire à l'état pur, où se succèdent arbitrairement le bien et le mal, l'amour et la haine, le rire et la peur, la tendresse et la terreur. L'univers polymorphe de la pulsion est celui de l'inceste prescrit, annoncé, prophétisé - nullement interdit. Mais à la différence de la perversion proprement dite ou de structure, la disposition perverse/phobique implique à terme la culpabilité et fait accéder par ce biais, par ce recul imposé, au lien symbolique. Le fait de s'abandonner au non-sens expressionniste de la pulsion est vécu comme une faute, qui engendre la séparation. Lorsque, plus tard, la phobie est constituée autour d'un ou plusieurs objets invariants, ceux-ci fonctionnent comme des signaux où se repère le sujet, qui défend sa castration (même si c'est dans la terreur), là où inversement le pervers s'en défend grâce au fétiche.

Rappelons d'ailleurs ce qui constitue le fétiche comme manifestation typique de la perversion, en tant que structurellement organisée, et en quoi il se distingue de l'objet phobique intervenant dans la névrose. Généralement, le névrosé répond au manque dans l'Autre avec son symptôme, empruntant ce "trait" signifiant à l'idéal du moi. Mais il arrive que le symptôme ne suffise plus face aux manifestations inopinées de la jouissance, risquant de submerger le sujet dans l'angoisse. C'est ici qu'intervient la fonction dérivative de la terreur, donc de l'objet phobique. Il en va tout autrement chez le sujet pervers qui, face à l'angoisse de castration, construit l'opération psychique du déni. Le manque dans l'Autre étant intolérable, il est bouché par l'objet que vient incarner le sujet lui-même, réduit à une pure pulsion, en dehors de toute symbolisation (à la différence du vécu du symptôme). A ce moment là, le sujet choisit l'être au détriment du sens, évitant ainsi le non-sens et l'angoisse ; l'acte sexuel lui apparaît comme une certitude, la jouissance comme un impératif, etc. S'il pallie ainsi les défaillances du Nom-du-Père qui composent sa structure, cette façon de compenser une perte de sens au moyen d'une identification à l'objet prouve néanmoins que le sujet (y compris de structure perverse, parce qu'il est sujet justement) reste attaché à la quête du Nom-du-Père. En attendant la disposition phobique polymorphe, avec tout ce qu'elle pouvait comporter de ludique et de dérivatif, de plastique et d'inventif, a dû céder devant la (trop) sérieuse et intimidante constitution perverse.

 

Le Crime comme passage à l'acte

 

Le crime est un passage à l'acte de type trans-structurel, concernant toutes sortes de sujets, qu'ils soient névrosés, pervers ou psychotiques. Il n'y a pas de fatalité du crime - pas de gène ! -  pas même de structure psychique spécifiquement criminelle. Pas de nécessité mais une possibilité : le crime comme passage à l'acte est toujours la conséquence d'une disposition psychique (inconsciente) doublée de circonstances factuelles "malheureuses". Pour développer cette thèse, je m'appuierai (entre autres) sur la synthèse très éclairante de Jacky Bourillon que constitue son livre Les criminels sexuels (L'harmattan, 1999).

Quels seraient, pour commencer, les traits criminogènes imputables à certaines formes de névroses ? Selon J. Bourillon les névrosés criminels sont souvent des enfants non désirés ou s'imaginant tels, fixés à ce temps du stade du miroir où, normalement, se produit le recouvrement du trou dans l'image par le regard de l'Autre. Si celui-ci est perçu comme hostile ou même traduit un désir de mort, le sujet sera contraint de se fabriquer l'image d'un moi fort, en tentant d'incarner, au niveau du moi idéal, le signifiant de l'idéal du moi. Et lorsque le vide réel du moi transparaît à l'occasion, le sujet se précipite dans le passage à l'acte pour éliminer la cause de la menace, et ainsi fuir l'angoisse. Il s'agit toujours d'une angoisse de castration imaginaire que le symptôme, trop fragile ou insignifiant pour conférer un sens à l'existence, chez ces sujets enclins au passage à l'acte, ne parvient pas à endiguer. Inconsciemment, ils s'identifient à un déchet (non désiré) dans le regard de l'Autre. Mais, par un mécanisme de défense, ils ne peuvent tolérer d'être vus autrement que sous les auspices du moi fort (idéal) qu'ils ont dû se forger ; toute signification étrangère venant de l'Autre, pouvant remettre en cause ce narcissisme, est interprétée comme destructrice. Du coup, ils prennent les devants et peuvent aller jusqu'à tuer leur semblable ; ne pouvant s'inscrire dans l'Autre via le symbolique, ils s'inscrivent (comme " sujets criminels ", et bientôt prisonniers-déchets) en agissant contre l'Autre dans le réel. Les cliniciens relèvent une intolérance particulière, chez ces sujets, à ce qui est perçu comme une féminisation de leur image par l'Autre, et donc directement comme une menace de castration. Cette angoisse face au regard de l'Autre, son désir mortifère à l'égard du sujet, conduit celui-ci moins à replâtrer une identification défaillante qu'à se désidentifier, au moment du passage à l'acte, en faisant table rase. Ils sont acculés à la logique du choix forcé, qui est la logique du pire : ne pouvant être ni ceci, ni cela pour l'Autre, ils choisissent tout ou rien, ils tuent ou bien se tuent. Si ces sujets n'ont pas le choix, si la plupart des névrosés délinquants ou criminels sexuels récidivent, c'est qu'ils sont soumis à une véritable contrainte de répétition : le trauma, la rencontre avec le réel non symbolisable, épouse le rythme métronomique de la pulsion, et des impasses du désir.

Il n'en va pas de même chez le sujet pervers, qui n'a cure (c'est le cas de le dire) des énigmes du désir de l'Autre. Le pervers n'interroge pas l'Autre sur son désir, il apporte une réponse à son désir (supposé) de jouissance. En l'occurrence, ne pouvant symboliser la castration maternelle, et se désintéressant du problème de la différence des sexes, il se propose lui-même comme unique objet-réponse au manque dans l'Autre, c'est-à-dire instrument de sa jouissance. Dans un premier temps, cherchant à incarner le phallus manquant de la mère, l'enfant s'identifie effectivement au père, en tant que possesseur dudit. Mais dans un second temps, se produit l'identification au phallus maternel, via un objet supplantant la loi du père, faisant désormais la loi : au mieux un fétiche inoffensif, au pire un enfant (pédophilie) pris pour le phallus imaginaire de la mère. Le tout repose sur un leurre étonnant, que permet la métonymie : faire passer l'objet du désir pour l'objet d'amour primordial. Notons l'amalgame sans cesse entretenu, entre l'inconsistance (symbolique) de l'Autre et son incomplétude (imaginaire), ou encore la confusion rêvée entre corps et jouissance ; les deux erreurs faisant système, puisque c'est pour restituer au corps toute sa jouissance (en niant la médiation du symbolique) qu'il est identifié à l'objet.

Venons-en plus précisément à la problématique du passage à l'acte chez les pervers. Il ne faudrait pas s'imaginer que le passage à l'acte est constitutif de la perversion. En fait, il est plutôt le résultat d'un échec (assez rare) du scénario répétitif qui soutient généralement, et disons "normalement", le pervers dans sa jouissance. Le fantasme de celui-ci est structuré de manière à figurer la restitution de 'a' à 'A'. En matière d'objet le pervers est expert, et il ne vient jamais à douter de son savoir ; mais cela n'empêche pas la restitution d'échouer. Car naturellement, en pleine contradiction avec lui-même, il cherche à exprimer cette totalité (complétude) en terme de vérité (consistance), faire passer la jouissance dans le discours. Il se fait même fort de démontrer l'impératif de jouissance à l'œuvre dans le discours de l'Autre. Que se passe-t-il lorsque le sujet pervers en vient au meurtre et au viol ? Cela prouve simplement, dans certains cas, l'échec de la perversion, la faiblesse du scénario de défense contre l'angoisse de castration.

En revanche, chez les sujets psychotiques, les crimes sexuels correspondent à une stabilisation perverse ; Père-version qui, dans certains cas, permet de pacifier leur rapport à la loi. Il arrive donc que les voix, les hallucinations, voire le délire poussent le sujet à commettre un meurtre. Le crime est signé par son aspect extraordinairement violent et cru, incompréhensible, le corps sacrifié étant pour et par le psychotique vidé de toute signifiance. A la différence du pervers qui, à travers l'acte criminel, met en scène une jouissance incestueuse, le psychotique tente une séparation d'avec la mère, pour faire cesser le temps d'un acte cette malédiction qui le réduit n'être que déchet, et qui s'avère par moment trop angoissante. Le crime apparaît comme une protection contre l'angoisse, elle-même causée par la confrontation avec une situation sans issue. Inversement, la perversion fonctionne comme une garantie contre d'éventuels passages à l'acte criminels.

Contrairement à l'impression péjorative léguée par le sens commun, qui moralise et assimile la perversion avec le crime, en confondant au passage perversion et perversité, on ne peut vraiment articuler la perversion qu'avec le crime déjà réalisé (ou passé) qui lui sert de cause. Le crime ne sera pas actualisé (passage à l'acte) s'il se conjugue exclusivement au passé par les voies de la symbolisation.


Fétichisme et Totalitarisme

Si la qualification de "perverse" peut s'appliquer à un discours ou une structure politique, voire à une idéologie, il faut pouvoir y repérer au moins la place d'un élément fonctionnant comme fétiche. Slavoj Žižek écrivait à ce sujet : "La différence entre le totalitarisme de droite et celui de gauche est liée précisément, au fait que dans le premier cas, le fétiche se trouve du côté de l'autre, de l'ennemi, tandis que dans le deuxième cas, le fétiche, c'est notre position elle-même" (in Collectif, Traits de perversion dans les structures cliniques, Navarin, 1990). Si l'on prend d'abord le cas du totalitarisme de droite, le fascisme, c'est le "juif" qui tient lieu manifestement de fétiche. Comme tout fétiche, il a pour fonction de masquer et en même temps de dévoiler quelque chose, en l'occurrence l'élément historiquement discordant, ici appelé "juif", ailleurs "lutte des classes", brisant l'harmonie mythique d'une société organiquement, globalement constituée. Pour un fasciste, le juif est un Alien redoutable, grand responsable du désordre social et de la décadence historique de l'Occident. Il l'est une première fois en ce qu'il peut incarner, dans l'imagerie populaire, la plèbe la plus repoussante et la plus marginale, terreau potentiel des révoltes et des révolutions ; il l'est à nouveau quand il a "réussi", quand il règne comme une "main invisible" sur le négoce et la finance, collaborant au capitalisme international et libéral, fossoyeur des nations. Le fétiche "juif" constitue donc un désaveu paradoxal, un démenti à cette "castration" sociale élémentaire (en occident et ailleurs) qu'est la différence et la lutte des classes. La perversion fasciste est politiquement (puisqu'on ne peut pas dire "cliniquement") plus caractérisée ou plus grave que les perversions nationalistes ou capitalistes-mondialistes, en ceci que la constitution du fétiche s'est portée sur des hommes et une race, comportant intrinsèquement une logique de meurtre, et non plus seulement sur le maître personnel (société traditionnelle) ou sur la marchandise (société capitaliste).

Passons au totalitarisme de gauche, au premier rang duquel le stalinisme. Voyons pourquoi, selon Zizek, la position du fétiche n'y est pas extérieure et xénophobe, mais intérieure et narcissique. La fétichisation se place en l'occurrence sur le terrain, politiquement miné, de la représentation : le Parti-fétiche est censé représenter à lui tout seul l'universalité des masses et de la classe ouvrière. Il dénie, il ne tient pas compte de la différence exigible en droit entre cet universel comme tout et le pas-tout empirique de ces mêmes masses. Le Parti communiste, composé de militants d'une "facture à part", selon Lénine, se place de manière à obturer la différence entre militants et masses, c'est-à-dire finalement bureaucratie dominante et peuple dominé. Les membres du Parti (et pire encore, du Bureau) sont à la fois en-dehors et au milieu du peuple, exceptionnels et ordinaires, dominants et dominés, sadiques et masochistes. Il est clair que le Parti n'œuvre pas uniquement pour lui-même, par exemple pour la jouissance du pouvoir, mais selon la volonté d'une puissance plus considérable - l'Histoire et ses "lois objectives" -, comme instrument d'une jouissance Autre incluant les heurs et malheurs du peuple soviétique. Comme tout sujet sadique, le Parti protège sa propre division et sa propre contradiction, en les reportant sur l'autre, sa victime : il lui fait comprendre - en le détruisant d'abord, car l'Histoire (grand Autre) est une mangeuse d'hommes - que toute contestation individuelle est illusoire, injuste, et illogique, puisque le Parti agit finalement au nom du peuple en toute légitimité. Bref, qu'il soit représenté par une totalité sociale organique, dans le cas du fascisme, ou par une vision globalisante de l'Histoire, avec le communisme, l'Autre-Un du totalitarisme dénie l'existence et plus encore le droit à l'existence des multiplicités unaires.

Pourquoi ne pas rappeler, maintenant, la caractéristique perverse de toute politique en général, en tant qu'incapable de voir et de concevoir l'Individu ? L'Individu réel est la bête noire de la politique, d'autant plus que l'Un-universel ou l'Un-totalité demeure son fantasme et plus précisément son fétiche le plus courant (l'Homme et le Citoyen, le Peuple, la Nation, la Race, les Masses, le Capital, etc.). En rappelant que le fétiche est Un, ou une modalité de l'Un, on soustrait précisément l'Un réel - en tant qu'Un radicalement - à la logique représentationnelle en général du fétiche, où l'Un est toujours une représentation de l'Autre (le fétiche, extrait de l'Autre, représente le sujet qui, en tant que pervers, s'identifie à l'Autre, etc.). Il ne s'agit nullement de banaliser le totalitarisme en le noyant dans une approche obscurantiste de la politique, tant il est vrai que tous les régimes ne se valent pas et qu'il y a des degrés dans la perversion ; il s'agit de l'unilatéraliser, de l'isoler et de le bannir de l'Histoire en le rapportant malgré lui à sa cause individuale : à chaque fois il se dénonce lui-même dans le rejet phobique, et la reconstitution

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"España es el pais más fuerte del mundo, los españoles llevan siglos intentado destruirlo y no lo han conseguido."

"¡Ni hablar! Los españoles ya gobernaron un vez el mundo, son el único pueblo mediterráneo verdaderamente valiente e inmediatamente organizarían guerrillas en nuestra retaguardia. No se puede entrar en España sin permiso de los españoles".

Respuesta que Hitler dió a sus generales tras invadir Francia y proponerle estos a continuación invadir España.

Se les ve expuestos a la injuria de los tiempos, en la miseria; y a pesar de ello, mas bravos soberbios y orgullosos que en la opulencia y la prosperidad"

Oyendo hablar a un hombre,

fácil es Acertar dónde vio la luz del sol;

si os alaba Inglaterra, será inglés,

si os habla mal de Prusia, es un francés,

y si habla mal de España,

es español. Joaquín

Los españoles son el único pueblo que no permite que los extranjeros critiquen sus propias instituciones al mismo tiempo que ellos son los primeros en hacerlo

Pierre Coubertin en su lecho de muerte:

1º Que nunca permitiesen que España organizase unos Juegos Olímpicos.

2º Que nunca concediesen unos Juegos Olímpicos a un país que ese mismo año organizase una Exposición Universal.

Como todos sabéis, Barcelona organizó los Juegos Olímpicos del 92, y ese mismo año 92 Sevilla organizo una Expo.

 


 

 

 


 


 

 

 

 

2009

 

Madrid 2010

 

2011




 

 


 

 


 


 

PLATON

 

2024-01-06/05:52:33

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